Ascension

Le BLOGUE

Utiliser son IDENTITÉ pour MANIFESTER sa vie

Avr 27, 2025 | La matrice décryptée

L’humain naît avec un bagage qui détermine déjà une partie de son identité. Qu’est-ce que l’identité humaine? Comment l’utilise-t-on? Pourquoi en est-il ainsi? Je vous propose un exposé dans lequel vous expérimenterez une progression vers la fusion de vos identités. Il n’est pas nécessaire de comprendre tous mes propos. Livrez-vous plutôt à l’exercice proposé : habiter son corps et incarner son identité.

Aujourd’hui, je vais aborder le sujet de l’identité, mais attention : Mon objectif n’est pas de vous enseigner ce qu’est l’identité, ni de chercher à vous convaincre ou à clarifier ce concept dans votre esprit. Chaque parole que je prononcerai sera plutôt une invitation, une opportunité pour vous de prendre en charge votre propre identité.

Prendre en charge son identité signifie rectifier sa matrice intérieure, réintégrer des parties essentielles de soi-même, pour permettre à votre identité divine de se révéler pleinement.

Ainsi, chaque propos partagé est une porte ouverte vers votre propre réencodage et vers votre ascension. Ce terme d’ascension, que j’emploie souvent, signifie tout simplement devenir un être divin incarné dans un corps physique, en prenant en main la matrice dans laquelle vous êtes venu vous incarner.

L’identité humaine

En tant qu’êtres humains incarnés sur cette planète, nous sommes soumis à une quantité phénoménale d’informations. Ces informations façonnent et construisent ce que nous appelons notre identité.

L’humanité possède une identité collective, tout comme chaque être humain détient également une identité individuelle. Ces deux dimensions coexistent et interagissent en permanence. L’identité collective de l’humanité est plus ou moins consciente pour la majorité des humains. Elle se construit au fil des expériences, des croyances et des évolutions communes.

Quant à l’identité individuelle, elle repose sur plusieurs éléments fondamentaux : les conditionnements personnels, la génétique et l’histoire de vie de chaque être. Chaque humain porte ainsi une identité unique, même s’il fait également partie d’un tout plus vaste.

Redéfinir son identité

Votre système nerveux est en constante activité. À chaque instant, il capte une multitude d’informations et opère un tri inconscient : «Cette information fait-elle partie de mon identité? Est-ce que je choisis d’être cela ou de ne pas l’être?»

Ainsi, votre système nerveux est perpétuellement en train de redéfinir votre identité. C’est un travail colossal, d’autant plus que nous évoluons dans une matrice saturée d’informations.

Nous baignons littéralement dans une piscine de fréquences — car fréquence = information. Face à cette abondance, votre matrice individuelle est, au départ, dénuée d’identité propre. Elle est en quête permanente, cherchant à se définir, à s’ancrer.

«Vous êtes programmé pour redéfinir votre identité.»

Ce processus de recherche est inscrit en vous : vous êtes programmés pour explorer, intégrer, et construire votre identité en interaction avec cette mer infinie d’informations.

Lorsque vous naissez dans un corps physique, vous êtes programmé pour redéfinir votre identité. Vous ne venez pas au monde avec une identité claire, fixe et pleinement définie en vous — cela n’existe tout simplement pas. En réalité, le concept même d’identité n’existe pas véritablement sur cette planète. Dans la matrice terrestre, l’identité telle que nous l’imaginons — quelque chose de solide, d’immuable, de pleinement conscient et affirmé («je suis cela, et je sais que je suis cela») — est une illusion.

Ce qui existe, ce n’est pas une identité claire dès la naissance, mais une quête : «Je veux savoir qui je suis.» Et pour découvrir qui vous êtes, vous devez vous engager dans une recherche, un processus vivant qui s’étend tout au long de votre existence.

Cette recherche se fait en deux temps : À la naissance, une part de cette quête est déjà amorcée à travers votre héritage ancestral. Tout au long de votre vie, vous poursuivez cette exploration en vous repositionnant constamment par rapport à ce que vous portez et à ce que vous choisissez d’incarner.

Un héritage génétique

À votre venue au monde, vous recevez un bagage génétique, une empreinte des recherches identitaires effectuées par vos ancêtres. Cela signifie que vous portez déjà une partie de leur histoire, de leurs quêtes, de leurs réponses, et parfois même de leurs impasses.

Cependant, cette identité héritée n’est pas figée : vous êtes libre à tout moment de la remettre en question, de la transformer, de l’enrichir, ou de vous en détacher.

En tant qu’être humain incarné, vous avez en permanence la liberté de réinterroger et de reconstruire votre identité. À chaque instant de votre vie, vous avez la possibilité de vous poser cette question essentielle : «Qui suis-je aujourd’hui, à travers ce que je choisis de devenir?»

La véritable identité n’est donc pas un héritage figé ni une vérité imposée : c’est un chemin vivant, un processus conscient, un art de devenir. Vous avez toujours le choix de redéfinir qui vous êtes. Par exemple, si vous réalisez que vous ne vous sentez pas aligné avec l’identité de «mère au foyer», vous pouvez décider, ici et maintenant, de recentrer votre attention et de reconstruire une nouvelle version de vous-même.

«Vous emmagasinez de l’information en vous, ce qui vous permet de vous forger une nouvelle identité.»

Le focus

Le focus est une accumulation d’énergie. En dirigeant consciemment votre attention, vous emmagasinez de l’information en vous, ce qui vous permet de vous forger une nouvelle identité. Vous pourriez, un matin, vous réveiller et choisir d’initier un changement d’identité.

Cependant, il est important de comprendre que chez l’humain, le changement d’identité est un processus graduel. Il est impossible de modifier son identité profonde d’un simple claquement de doigts. Cela demande :

  • Une déconstruction de l’information préexistante,

  • Puis une réintégration progressive de nouvelles données, choisies consciemment.

Votre conscience est la clé : c’est elle qui sélectionne les nouvelles informations que vous souhaitez intégrer. Cela dit, en naissant dans un corps physique, vous héritez déjà d’une quantité importante d’informations stockées en vous, issues de vos ancêtres. Modifier ces programmations ancestrales est extrêmement difficile. Cela demande un effort considérable, car elles sont profondément enracinées dans votre structure énergétique et cellulaire.

Ce qui est plus accessible pour un être humain, c’est de travailler sur les portions de son identité qui ne sont pas directement liées aux héritages ancestraux. Autrement dit, vous pouvez plus aisément :

  • Focaliser sur un projet,

  • Créer une entreprise,

  • Définir des objectifs précis,

  • Choisir les valeurs, les produits, les services, les bienfaits, ou l’impact que vous souhaitez générer.

En orientant votre focus sur ces éléments, vous amorcez un processus de redéfinition intérieure. Vous ajustez votre vie pour qu’elle soit en cohérence avec vos aspirations profondes et ce que vous souhaitez incarner et manifester sur la planète.

Chaque action que vous posez dans votre vie redéfinit votre identité. Votre identité personnelle est donc constamment en évolution : bien que vous soyez venu au monde avec un bagage génétique et ancestral, ce bagage reste un outil que vous êtes libre d’utiliser à votre guise au fil de votre existence.

Le sac à dos ancestral

Imaginez que vous naissez avec un immense sac à dos sur les épaules. Dans ce sac, se trouvent les dons, les aptitudes et les expériences de plusieurs de vos ancêtres. En grandissant, vous faites des choix, vous explorez la vie et, progressivement, vous découvrez certaines de vos prédispositions naturelles. Vous constatez, par exemple, que vous avez une grande facilité pour le dessin, pour créer de vos mains, pour manifester des œuvres artistiques. Vous remarquez aussi une attirance particulière pour les pierres précieuses, les cristaux, le contact avec la terre, le plaisir de tenir des roches dans vos mains, de les collectionner, ou de porter des bijoux ornés de pierres. Ce sont des indices précieux : ils viennent renforcer certains aspects de votre identité profonde.

Apprendre à se connaître, c’est en réalité découvrir ce qui est inscrit dans votre génétique : Ce que vos ancêtres vous ont transmis. Ce que vous portez inconsciemment en vous depuis votre naissance.

Au fil du temps, vous prenez conscience de vos forces, de vos passions naturelles, de vos affinités. Et à partir de cette conscience, vous faites des choix. Par exemple, même si vous savez que vous êtes doué pour le dessin, vous pouvez volontairement décider de mettre cette capacité de côté. Vous pouvez choisir de focaliser votre énergie sur votre connexion aux pierres, de développer cette affinité en approfondissant leur connaissance, leurs propriétés, et en utilisant les cristaux pour offrir des soins énergétiques.

Ce choix que vous faites est guidé par une intuition profonde, une guidance intérieure. Même si beaucoup d’humains ne sont pas conscients que cette guidance vient en réalité de leur héritage ancestral, ils parlent souvent d’intuition, de ressenti intérieur, ou d’un appel du cœur.

En vérité, lorsque vous ressentez que «c’est par là que je dois aller», vous êtes en train de sélectionner consciemment une partie de votre sac à dos ancestral. Vous choisissez d’exploiter certains dons, certaines mémoires, certaines forces déjà bien ancrées en vous — souvent héritées de lignées ancestrales anciennes.

Ainsi, dans cette vie, dans ce corps et avec votre matrice actuelle, vous êtes invités à choisir quels potentiels ancestraux vous souhaitez activer et mettre en œuvre pour avancer et construire votre chemin de vie. Découvrir votre sac à dos, comprendre vos héritages, faire des choix conscients : voilà l’essence du cheminement humain vers une identité assumée et créatrice.

«Vous êtes invités à choisir quels potentiels ancestraux vous souhaitez activer et mettre en œuvre pour avancer et construire votre chemin de vie.»

Construire son identité

Le choix individuel de se concentrer sur un potentiel parmi tous ceux présents dans votre sac à dos ancestral est fondamental. En misant sur une facette particulière de vous-même, en la mettant en valeur, vous amorcez le processus de création consciente de votre identité.

Plus vous faites de choix alignés, plus vous posez des actions concrètes, plus vous avancez dans votre vie, et plus vous consolidez votre identité. Votre parcours devient un chemin d’intégration progressive où vous transformez le potentiel brut en manifestation tangible.

En grandissant, vous développez naturellement des relations interpersonnelles : amis, collègues, partenaires, etc. Peu à peu, vous allez opérer une sélection : «Qui entre dans votre cercle rapproché, qui en sort?»

Ce processus de sélection nécessite une affirmation claire de votre identité. Plus vous êtes aligné avec vous-même, plus vos choix relationnels deviennent cohérents et naturels.

Une personne qui éprouve de la difficulté à s’assumer pleinement dans son identité va souvent :

  • Avoir un très large cercle d’amis et de connaissances,

  • Butiner d’un groupe à l’autre sans réelle cohérence,

  • Chercher à appartenir à plusieurs espaces sans jamais vraiment se sentir totalement à sa place.

Pourquoi? Parce que cette personne n’a pas encore suffisamment canalisé son énergie pour définir clairement qui elle est. Elle n’a pas affirmé en elle-même un axe central qui lui permettrait de trier, de choisir, d’orienter ses relations et ses projets.

À l’inverse, une personne qui sait qui elle est, qui a bien défini son identité, déploie son énergie comme un faisceau laser. Ces personnes :

  • Prennent des décisions précises,

  • Focusent leur énergie avec intensité,

  • Canalisent leur potentiel dans une direction unique.

Résultat : elles réussissent plus aisément leurs projets, car elles savent transformer leur information intérieure en action concrète dans le monde.

À l’opposé, quelqu’un qui n’a pas encore ancré son identité :

  • A de la difficulté à faire des choix,

  • Peine à créer un projet clair, à le mener à terme,

  • Se remet constamment en question.

Cela crée un état de fragilité intérieure. Plus cette instabilité identitaire est forte, plus la personne risque de compenser par divers excès (consommation, comportements extrêmes, dépendances). Ces excès sont une tentative d’apaiser l’anxiété générée par l’incertitude intérieure, face à une matrice d’information si vaste qu’elle devient étourdissante sans point d’ancrage solide.

«Je suis cela. Je choisis de porter et de manifester cette énergie précise.»

Un pilier énergétique

Se forger une identité, c’est canaliser une portion spécifique d’information, l’intégrer dans son corps, et la stabiliser en soi. C’est devenir un pilier d’énergie, affirmant : «Je suis cela.» «Je choisis de porter et de manifester cette énergie précise.»

En agissant ainsi, vous n’êtes plus simplement un être passif face au flot d’informations : vous devenez un créateur conscient de votre propre matrice intérieure.

L’humain est en recherche constante d’identité. Tout au long de sa vie, il fait un effort incessant pour emmagasiner de l’énergie en lui afin de devenir cette énergie, c’est-à-dire pour s’incarner dans une identité spécifique.

Dans la matrice terrestre, le concept d’identité tel que nous le concevons est en réalité une illusion. Il n’existe pas d’identité prédéfinie ou fixe dans l’absolu. Nous évoluons dans un immense magasin énergétique, une vaste gamme de fréquences infiniment variées, et nous pouvons potentiellement devenir n’importe laquelle de ces fréquences.

Cependant, il est important de comprendre que vous ne magasinez pas librement dans toutes les fréquences disponibles. À votre naissance, vous arrivez dans un corps physique avec un sac à dos génétique rempli de mémoires, d’énergies et d’informations héritées de vos ancêtres. Ce bagage ancestral agit comme un filtre naturel : il oriente votre capacité à capter certaines fréquences spécifiques dans la matrice. Ainsi, par défaut, vous allez être attiré vers des types d’énergies qui résonnent avec ce que vous portez déjà en vous.

Autrement dit, vous n’irez pas magasiner partout dans le grand magasin des fréquences universelles. Vous allez sélectionner, souvent inconsciemment, ce qui est en affinité vibratoire avec votre bagage de départ.

Tout au long de votre existence, vous naviguerez parmi ces fréquences sélectionnées :

  • Vous ferez des choix,

  • Vous tenterez de construire votre vie,

  • Vous chercherez à vous identifier à quelque chose de manière individuelle.

Chaque décision, chaque projet, chaque relation devient un moyen pour vous d’affiner, d’amplifier ou de redéfinir cette identité mouvante et construite en interaction permanente avec la matrice d’information.

Se définir comme individu

Même si l’humain porte une identité collective, il possède aussi un besoin fondamental : celui de se définir en tant qu’individu. Ce besoin est inévitable. Aucun humain ne peut échapper à ce processus de différenciation personnelle.

À la naissance, l’enfant commence par s’identifier à ses parents. La première identité de l’enfant est donc : «Je suis ma mère», «Je suis mon père».

«Je suis ma mère. Je suis mon père.»

En se définissant ainsi, l’enfant absorbe naturellement une partie de ce que ses parents vivent :

  • Il capte leurs émotions,

  • Il intègre leurs idées,

  • Il adopte leurs croyances,

  • Il enregistre l’énergie de leurs réussites comme de leurs échecs.

Ainsi, l’enfant emmagasine une partie de l’information parentale en lui, construisant les premières couches de son identité.

En grandissant, l’enfant découvre progressivement son identité sexuelle : «Je suis un garçon» ou «Je suis une fille». C’est une étape fondamentale, où l’être humain affirme qu’il est un être sexué. Dans la nature, il existe essentiellement deux sexes : masculin et féminin. L’identification sexuelle est donc une seconde grande fondation de l’identité individuelle.

Si un conflit survient : Au niveau de l’identification aux parents (ex. : tensions, rejets, conflits émotionnels), ou au niveau de l’identification au sexe biologique, alors ces perturbations vont teinter profondément l’évolution de l’individu.

Par exemple : Un enfant qui s’identifie sans grand conflit à ses parents (absorbe leurs énergies, leurs pensées, et gère relativement bien leur héritage émotionnel) aura une évolution plus fluide. Un enfant qui découvre son sexe et l’accepte sans heurt continue son cheminement intérieur avec stabilité.

Mais s’il y a un conflit à l’une ou l’autre de ces étapes (identification parentale ou identification sexuelle), l’évolution de l’identité peut devenir plus complexe, marquée par des tensions internes, des remises en question plus fréquentes, voire des blocages émotionnels.

À travers tout ce processus, il est important de noter que l’identité humaine est, fondamentalement, une dynamique animale et énergétique. Elle suit des bases très naturelles : identification aux figures parentales, puis identification au corps sexué. Ces étapes structurent l’individu bien avant les constructions mentales ou sociales plus complexes.

«L’identité humaine est, fondamentalement, une dynamique animale et énergétique.»

Forger son identité

Après avoir franchi les premières étapes d’identification — aux parents puis au sexe biologique — l’humain entre dans une nouvelle phase : la forge consciente de son identité. À partir de ce moment, l’individu va se définir à travers de nombreux autres paramètres perçus dans sa vie quotidienne.

L’humain commence par observer ses propres caractéristiques physiques : «J’ai les yeux bleus», «J’ai les cheveux châtains», «Je me trouve joli, mais sans plus.» À travers ces observations, l’individu renforce une identité physiologique, qui reste profondément ancrée dans son animalité. Ce processus passe souvent par la comparaison : Avec d’autres enfants, avec des figures vues à la télévision, sur internet, dans des livres ou des photos, avec des inconnus croisés dans la rue. Chaque comparaison vient affiner ou perturber la perception de soi, selon que l’individu accepte ou rejette ce qu’il perçoit de lui-même.

Dès la naissance, un humain est naturellement identifié à : Son espèce, son ethnie (son groupe racial). C’est une programmation collective universelle. Être humain, appartenir à l’espèce humaine, est inscrit dans le corps et dans l’inconscient collectif. Cependant, il arrive que certains individus ressentent un conflit avec cette identification biologique : Une révolte existentielle contre l’appartenance à l’espèce humaine, un sentiment d’étrangeté ou d’inadaptation au monde humain. Cela survient souvent lorsque le sac à dos ancestral est chargé de mémoires conflictuelles sur la condition humaine.

Un autre pilier fondamental de l’identité animale (et donc humaine) est l’identité territoriale. Par exemple : Être né au Canada, grandir dans la province de Québec, habiter la ville de Laval, parler français. Tout cela s’intègre naturellement dans l’identité de l’individu.

L’humain, tout comme les animaux, développe un fort attachement au territoire. Ce lien est instinctif et profondement inscrit dans l’ADN. Cependant, certains individus peuvent éprouver un rejet viscéral de leur lieu d’origine. Cela se produit lorsque leur bagage ancestral contient trop de mémoires de conflits territoriaux : Le sentiment d’être «étranger chez soi», le besoin irrépressible de quitter son lieu de naissance ou l’impression d’être en exil permanent.

«L’humain, tout comme les animaux, développe un fort attachement au territoire.»

L’être humain est majoritairement constitué d’un ADN animal. La très grande majorité de nos comportements, instincts et besoins sont animaux. Cependant, une petite portion de notre ADN est différente. Elle nous donne accès à une conscience supérieure :

  • La capacité de se questionner : «Qui suis-je?», «D’où viens-je?», «Pourquoi suis-je sur cette planète?»
  • Le désir de trouver un sens à sa vie, une mission,
  • La faculté d’avoir une compréhension élargie de tous les règnes vivants sur Terre (minéral, végétal, animal, humain, spirituel).

Les animaux ne deviennent pas philosophes et n’ont pas de métier au sens humain du terme. Vous ne croiserez jamais un oiseau à qui vous pourrez demander : «Quel est ton métier?» et qui vous répondra : «Moi, je construis des nids haut de gamme.» Cela n’existe pas. Un oiseau est programmé pour construire son nid d’une certaine manière, propre à son espèce. Cette compétence est innée : il sait instinctivement comment s’y prendre.

Lorsqu’un oiseau naît, il observe son environnement, ses parents et d’autres oiseaux. Ces observations viennent simplement renforcer un savoir-faire déjà inscrit en lui. Chez les animaux, il existe à la fois une identité individuelle et une identité collective, mais cette dernière est beaucoup plus marquée que l’identité individuelle.

Chez les humains, c’est différent. Notre identité collective est très forte, mais notre identité individuelle l’est tout autant. Nous portons en nous le poids considérable de ces deux identités. En tant qu’êtres humains, nous devons apprendre à nous connaître et à nous définir. Ce processus d’identification est essentiel.

Cependant, lorsqu’un conflit interne important trouble notre programmation, nous risquons de devenir des êtres réfractaires à la découverte de nous-mêmes. Nous résistons alors à l’idée de nous définir, d’apprendre qui nous sommes réellement. Et ce refus peut nous éloigner de la quête de sens : nous cessons de nous interroger sur notre mission de vie, sur notre raison d’être.

Beaucoup d’humains vivent aujourd’hui dans cet état de confusion identitaire. Pourtant, redéfinir notre identité est un effort constant. Notre système nerveux sélectionne sans cesse ce qui deviendra ou non partie intégrante de notre identité. C’est un processus permanent, fondamental à notre développement.

L’importance du corps

Chez certains humains, une grande part de l’identité est centrée sur l’aspect physiologique, c’est-à-dire le corps physique, ainsi que sur les possessions matérielles. Ce sont des personnes qui accordent une importance particulière à leur apparence et à leur santé physique. Elles prennent soin de leur corps, pratiquent régulièrement des activités sportives, s’habillent de manière à se plaire et à plaire aux autres, surveillent leur alimentation et soignent leur apparence jusqu’aux moindres détails, comme le coiffage ou l’entretien de leur silhouette.

Chez les femmes, cela peut se manifester par l’utilisation du maquillage, des coiffures soignées, l’accentuation de certains traits physiques — par exemple en augmentant le volume des lèvres — voire par le recours à des chirurgies esthétiques telles que des implants mammaires. Ce comportement met en avant l’identité physiologique, qui, soit dit en passant, est une composante profondément animale de notre être.

Allons encore plus loin : lorsque l’humain met l’accent sur son identité physiologique, il répond inconsciemment à un besoin fondamental lié à l’identité collective. Ce besoin est enraciné dans l’instinct de reproduction : plaire au sexe opposé afin d’assurer la perpétuation de l’espèce. C’est un cycle naturel, inscrit dans nos mécanismes biologiques, bien que rarement pleinement conscientisé.

«Plaire au sexe opposé afin d’assurer la perpétuation de l’espèce.»

Si vous demandez à quelqu’un pourquoi il met tant d’efforts sur son apparence physique, il vous donnera probablement de nombreuses justifications rationnelles. Il dira peut-être qu’il le fait pour son bien-être, pour se sentir bien dans sa peau, ou simplement parce que cela lui procure du plaisir. Pourtant, en arrière-plan, ce comportement répond à une pulsion collective primordiale, une programmation animale incontournable et essentielle à la survie de l’espèce humaine.

Lorsqu’une personne met l’accent sur son identité physiologique, elle tend également à valoriser tout ce qui est matériel. Par exemple, elle pourra manifester un goût marqué pour les beaux objets, les voitures luxueuses, les maisons élégantes ou encore les possessions raffinées. Ces biens matériels viennent prolonger la notion de physicalité, car, dans la programmation interne de l’être humain, une possession est perçue comme une extension du corps physique. Bien qu’il s’agisse d’une illusion, cette croyance est réelle au niveau de notre programmation inconsciente : il existe une forte association entre notre identité physique et nos possessions matérielles. Il est important ici de préciser que cette observation n’est pas portée par un jugement de valeur — ce n’est ni « bien » ni « mal » de s’identifier de cette façon.

À l’inverse, il existe aussi des personnes qui négligent complètement leur apparence physique, mettant de côté cette portion fondamentale de leur identité collective, pour se concentrer sur des aspects plus aériens, plus conceptuels.

Une personne qui valorise son corps et ses possessions est généralement plus ancrée dans la matière. Elle aime le concret, le tangible, elle aime voir, toucher, posséder. Elle a les deux pieds bien sur terre et démontre une capacité à interagir de manière pratique et réaliste avec le monde physique.

À l’opposé, ceux qui délaissent leur identité physique tendent à vivre davantage dans les idées, dans des concepts et des idéaux. Ce sont souvent des personnes dites plus « bohèmes », moins préoccupées par leur apparence ou leur propreté, qui investissent leur énergie dans des aspirations, parfois déconnectées de la réalité matérielle. Leur identité est alors projetée dans un potentiel incertain, qui n’est pas garanti de se matérialiser.

«Quelqu’un qui a du mal à canaliser son énergie au niveau du corps physique éprouvera aussi des difficultés à la canaliser dans la matière en général.»

Or, quelqu’un qui a du mal à canaliser son énergie au niveau du corps physique éprouvera aussi des difficultés à la canaliser dans la matière en général. Son énergie se disperse, réduisant considérablement son impact dans la « matrice » matérielle. Cela se traduit souvent par une instabilité financière, des projets difficiles à lancer, maintenir ou achever, et une tendance à avoir « la tête dans les nuages ».

De plus, une telle personne peut avoir du mal à rester enracinée dans un lieu ou une situation précise, préférant le changement constant. Confier à cette personne une responsabilité claire peut devenir anxiogène, voire extrêmement stressant, car assumer une responsabilité suppose d’agir concrètement, de matérialiser son engagement dans le monde physique. Or, si l’individu est dans le refus inconscient de son propre corps physique, cette exigence de matérialisation peut provoquer une montée d’anxiété importante.

Mettre en œuvre des actions concrètes dans la matière est un processus extrêmement exigeant. Chez certains individus, cela réveille une peur profonde, souvent inconsciente : la peur de mourir. Cette peur naît d’une programmation intérieure qui murmure : «Ne sois pas ton corps physique, ne sois pas la matière, ne sois pas tes possessions, car cela représente un danger.»

Cette programmation n’est pas apparue par hasard. Elle s’inscrit dans un héritage transgénérationnel, un «sac à dos» invisible que nous portons, rempli des mémoires et traumatismes de nos ancêtres. La question de l’identité humaine est donc beaucoup plus ancienne et complexe qu’il n’y paraît.

L’identité décryptée

Si l’on souhaitait analyser l’identité d’un être humain en profondeur, on pourrait le faire en plusieurs phases. Premièrement, il faudrait observer l’identité de base que la personne possédait déjà à sa naissance : quelles informations, quelles mémoires étaient déjà en place? Deuxièmement, il conviendrait d’étudier comment cette personne a évolué : quels choix a-t-elle faits en grandissant? À quel moment a-t-elle commencé à se définir individuellement, si elle l’a fait?

En effet, certains humains ne parviennent jamais à se définir comme individus. Ils restent ancrés dans l’identité collective tout au long de leur vie, sans jamais réellement se différencier. Décrire ainsi le parcours identitaire d’une personne, de sa naissance jusqu’à sa mort, permettrait de comprendre en profondeur qui elle est.

«Notre identité n’est rien d’autre qu’une somme d’informations, accumulées et stockées en nous depuis notre conception.»

C’est l’identité qui détermine les choix que nous faisons, les actions que nous posons — ou que nous évitons. Notre identité n’est rien d’autre qu’une somme d’informations, accumulées et stockées en nous depuis notre conception. La vie d’un humain, en essence, est la manifestation extérieure de l’information intérieure qu’il porte.

Une bonne médium est capable de prédire avec précision l’avenir d’une personne parce qu’elle sait lire cette identité profonde. En captant les schémas identitaires actifs, en décelant les traces héritées des ancêtres, elle peut anticiper avec justesse :

  • Comment la personne réagira dans certaines situations,

  • Quels choix elle est susceptible de faire,

  • Quelles sont ses véritables aspirations,

  • Quels sont les blocages, les peurs qui l’empêcheront de concrétiser ses désirs les plus profonds.

Ainsi, en observant attentivement l’identité d’un être humain, il devient possible de comprendre son chemin de vie avec une étonnante clarté.

Matérialiser sa réalité

Un être humain peut passer toute sa vie à fonctionner sur la base d’une identité floue, instable — une véritable illusion. Pour rendre cette identité claire et stable, il est essentiel de la canaliser. Cela implique de mettre le focus sur certaines parties de soi. Plus on est capable de concentrer son énergie sur une facette spécifique de son être, plus on devient un humain assumé, ancré dans son corps, capable d’agir de manière précise dans la matière.

Lorsqu’on canalise une partie de soi et qu’on l’amplifie, c’est un peu comme si on devenait un faisceau laser d’énergie : une force concentrée capable de matérialiser concrètement tout ce qui est aligné avec notre véritable essence.

On entend souvent : «On attire l’énergie que l’on porte.» Oui, en surface, c’est vrai. Mais si l’on veut comprendre plus en profondeur, il faut aller plus loin : on ne fait pas qu’attirer, on matérialise ce que l’on canalise activement en soi. Plus vous assumez et concentrez votre énergie sur une ou plusieurs parties authentiques de vous-même, plus vous devenez un rayon énergétique puissant auquel la matrice (le monde matériel) répond immédiatement.

«Plus vous assumez et concentrez votre énergie sur une ou plusieurs parties authentiques de vous-même, plus vous devenez un rayon énergétique puissant auquel la matrice répond immédiatement.»

Travailler sur son identité, ce n’est pas vouloir changer intérieurement pour manifester une réalité différente. C’est plutôt reconnaître ce qui existe déjà en vous, faire le tri dans vos informations intérieures et choisir de concentrer votre énergie sur des éléments présents en vous.

Par exemple, si vous admirez une chanteuse et rêvez de devenir chanteuse, mais que vous n’avez ni la voix ni le talent naturel pour le chant, il vous sera extrêmement difficile — et énergétiquement coûteux — d’atteindre cet objectif. Pourquoi? Parce que vous tentez de canaliser une énergie que vous ne portez pas naturellement en grande quantité. Le taux d’abandon dans ces cas-là est très élevé, car vos programmations et mémoires ancestrales ne soutiennent pas cet élan.

À l’inverse, si vous travaillez avec ce que vous portez déjà, avec les talents, aptitudes et intuitions naturelles qui vivent en vous, alors la matérialisation devient rapide, fluide et puissante.

Prenons une personne qui, dès l’enfance, « sait » qu’elle deviendra danseuse de ballet. Ce n’est pas qu’une intuition magique ou mystique : c’est une lecture naturelle de l’information qu’elle porte déjà en elle. Son potentiel de devenir danseuse est inscrit dans ses données intérieures. En se concentrant sur ce potentiel, en l’amplifiant par l’apprentissage et la pratique, elle incarne cette trajectoire de manière fluide et réussit à en faire sa voie professionnelle. Ce n’est donc pas une simple intuition ; c’est une lecture claire d’un potentiel déjà existant.

Certaines personnes naissent avec un niveau élevé de conflits internes liés à leur identité. Cela se manifeste très tôt : en grandissant, ces individus ressentent une profonde incertitude face à eux-mêmes. Par exemple, lorsqu’arrive le moment de choisir une orientation scolaire ou professionnelle, ils se sentent perdus. Ils ne savent pas ce qu’ils aiment, ni ce qu’ils désirent faire de leur vie.

Face à cette incertitude, la stratégie la plus courante consiste à choisir un chemin général, dans l’espoir de « gagner du temps » pour mieux apprendre à se connaître. Mais au fond, cette difficulté à se définir vient d’un conflit identitaire présent dès la naissance.

Vous pourriez trouver cela injuste : pourquoi certains naissent-ils avec une identité claire, prêts à poser des actions concrètes et à réussir selon les standards modernes, alors que d’autres semblent condamnés à errer, incapables de se définir ou de s’accomplir dans une direction particulière?

La réalité, c’est que sur cette planète, c’est ainsi que cela fonctionne. Nous naissons tous avec un bagage génétique, un ensemble d’informations préexistantes, qui influence fortement la manière dont notre vie se déroulera. Ce bagage constitue une sorte de « lancée initiale » pour notre existence. Certains naissent avec plus de facilité, d’autres avec davantage de défis. Certains viennent au monde avec un poids de souffrance inscrit dans leur «front», leur destin marqué d’avance par la difficulté, voire par une fin tragique.

Nous vivons dans une matrice, un système où la notion même de justice ou d’injustice est une construction mentale. En vérité, la justice ou l’injustice est une information que vous portez dans votre sac à dos identitaire. Lorsque vous naissez, vous arrivez déjà avec une quantité d’éléments internes — d’idées, de perceptions héritées — qui vont teinter votre vision du monde. Certains porteront une sensibilité exacerbée à l’injustice, d’autres non. Ce n’est pas universel ; c’est un reflet de l’information préprogrammée en chacun de nous.

La nouvelle identité

Il est important de comprendre qu’une nouvelle identité est désormais accessible sur la planète. J’utilise le mot «nouveau» parce que, jusqu’à récemment, cette possibilité n’était pas ouverte aux humains. Il s’agit de l’identité divine, une identité qui provient directement de la Source — l’origine de tout ce qui existe.

Contrairement à tout ce que j’ai décrit auparavant, l’identité divine est libre d’information. Elle n’est pas conditionnée par des mémoires génétiques, ancestrales ou par les conflits liés à la matrice terrestre. C’est une identité pure, stable, et d’une extrême clarté.

Je dois le dire : la Source existe.
Et cette identité, vous la portez déjà en vous.

Si vous êtes en train de lire ce texte, cela signifie que vous avez en vous deux identités :

  • L’identité matricielle, conditionnée par votre bagage génétique, vos mémoires et vos expériences terrestres.
  • L’identité divine, stable et pure, provenant directement de la Source.

Cependant, aujourd’hui, votre identité divine n’a pas encore l’autorisation de prendre pleinement le dessus sur votre identité matricielle. En d’autres termes, il n’est pas encore permis — dans les lois actuelles de l’Ascension — de fusionner totalement avec votre divinité intérieure pour devenir un être pleinement divin dans un corps physique.

Votre identité divine est là, présente, parfaite. Elle est dépourvue d’information : elle est de la non-information, de la non-fréquence. Elle attend, en silence, d’être déployée lorsque cela sera possible. Pendant ce temps, votre identité matricielle continue son travail incessant : votre système nerveux traite constamment des flux d’information, vous poussant à évoluer, à faire des choix, à canaliser une partie de votre être pour devenir quelque chose dans la matière.

En ce moment même, vous êtes donc à la croisée de deux réalités :

  • Celui de l’identité conditionnée, mouvante, limitée par la matrice.

  • Celui de l’identité divine, immuable, éclatante de pureté, prête à émerger lorsque le moment sera venu.

«Il existe un point de départ simple et fondamental : revenir dans votre corps.»

Si vous souhaitez basculer davantage vers votre identité réelle, celle qui est divine et qui réside déjà à l’intérieur de vous, il existe un point de départ simple et fondamental : revenir dans votre corps. Cela signifie prioriser la physicalité, non pas à travers l’apparence extérieure — il ne s’agit pas ici de vous maquiller, de vous coiffer ou de bien vous habiller — mais de considérer profondément votre véhicule physique. Il s’agit d’habiter votre corps avec votre conscience, de l’honorer pleinement.

À cet instant précis, je suis moi-même dans mon corps. Ma conscience considère mon corps et est présente dans mon corps. Or, pour la plupart des gens, une partie de la conscience est dispersée, «perdue dans l’astral», c’est-à-dire non canalisée, flottant dans des sphères plus aériennes.

Ce que je vous propose, c’est de revenir dans votre véhicule physique :

  • Considérez votre corps,

  • Imprégnez-vous de sa présence,

  • Permettez à votre énergie de se canaliser pleinement dans la matière.

Lorsque vous commencez à habiter véritablement votre corps, votre identité divine sait qu’il y a collaboration. Elle peut alors commencer à effacer progressivement une partie de votre identité matricielle et à prendre plus de place en vous. Pour amplifier ce processus, il vous suffit d’aller plus loin :

  • Reconnaître que vous êtes dans un corps,

  • Reconnaître que vous êtes une matrice vivante,

  • Reconnaître que votre identité actuelle est faite d’information, de fréquences.

Votre identité humaine est 100 % matricielle, entièrement composée d’informations et de vibrations liées à la matrice. Mais en la considérant, vous ouvrez la voie à la fusion entre votre identité matricielle et votre identité divine.

Il n’est pas nécessaire de tout décortiquer. Il suffit d’être présent, de reconnaître tout ce que vous êtes, toute l’énergie que vous portez, toute votre génétique, toutes vos connexions à la matrice.

En faisant cela, vous incarnez pleinement votre ego — votre identité terrestre — et vous lui donnez toute la place nécessaire dans votre corps. Par ce mouvement, votre identité divine peut alors se déployer de plus en plus, tandis que votre ancienne identité matricielle s’efface doucement.

La grande fusion

Actuellement, un grand processus est en cours sur la planète : la fusion des identités. La Source a décidé d’éradiquer progressivement la matrice terrestre. Et pour participer consciemment à cette éradication, nous devons impérativement revenir dans notre corps physique, considérer notre matière, habiter notre présence humaine.

Notre corps physique est notre première référence à la matière. En l’habitant pleinement, nous respectons et amplifions notre ancrage. En considérant également notre identité matricielle — l’information colossale que nous portons — nous devenons capables de traverser ce processus de fusion avec grâce et puissance. Car, oui, l’information que nous sommes est gigantesque, et c’est précisément en l’assumant totalement que nous ouvrons la porte à notre véritable nature divine.

Il faut comprendre que l’identité humaine est gigantesque, bien au-delà de ce que la science moderne est capable de saisir. À ce jour, les scientifiques n’ont pas réussi à définir clairement ce qu’est l’identité, car elle s’étend bien au-delà des frontières du tangible et du mesurable. Elle plonge ses racines jusque dans la création même de l’humanité.

«La vérité est que l’humanité n’est pas apparue de manière naturelle.»

La vérité est que l’humanité n’est pas apparue de manière naturelle. Des êtres galactiques ont créé l’espèce humaine en laboratoire, à bord de vaisseaux. Ils ont assemblé une soupe d’ADN, mélangeant différentes informations génétiques, qu’ils ont implantée, désimplantée, réimplantée à plusieurs reprises. De nombreuses versions de l’humain ont été créées avant d’aboutir à ce que nous appelons aujourd’hui l’humanité actuelle.

Au fil de ce processus :

  • Différentes ethnies ont été créées,

  • Des caractéristiques physiologiques distinctes ont été implantées,

  • Des éléments culturels, des langues et des territoires ont été attribués de manière précise.

Chaque implantation était pensée, dirigée et contrôlée. Les humains n’ont pas simplement «évolué» : ils ont été programmés. Ce résumé rapide permet de saisir une chose essentielle : si vous incarnez pleinement votre identité dans votre corps, vous incarnez aussi toute cette histoire. Vous portez en vous l’information originelle liée non seulement à la Terre, mais aussi aux êtres galactiques et aux réalités bien au-delà du plan terrestre.

Et voici ce qui est magnifique : aujourd’hui, vous pouvez accéder à cette incarnation complète. En étant pleinement dans votre corps, en considérant et en honorant votre identité matricielle, vous permettez à votre identité divine de fusionner avec elle. Ce processus est en cours.

Vous ne deviendrez pas, du jour au lendemain, un être divin à 100 %. Oubliez l’idée de « claquer des doigts » pour atteindre un état de divinité totale. C’est un processus graduel, une fusion douce et naturelle entre votre matrice terrestre et votre essence divine. Plus vous vous autorisez à :

  • Être pleinement dans votre corps,

  • Incarner toute votre information matricielle sans la juger,

  • Reconnaître votre héritage galactique et terrestre,

plus vous forcez naturellement l’identité divine à émerger en vous.

Ce travail intérieur est une forme de réécriture de votre propre matrice individuelle. Et chaque fois que vous le faites, vous contribuez aussi à l’évolution collective vers une humanité plus consciente, plus alignée avec sa véritable origine.

À ce stade, votre cerveau commence à avoir une compréhension approximative de ce qu’est une identité divine. Maintenant, je vais vous expliquer précisément ce que votre identité divine fait — et fera — à l’intérieur de la matrice.

Manifester sa vie

Actuellement, une fusion est en cours entre votre identité matricielle et votre identité divine. Votre identité divine, à l’intérieur de vous, ne peut pas matérialiser ce que l’on appelle la non-matrice (la matrice originelle pure). Elle ne peut intervenir que dans la matrice artificielle dans laquelle vous êtes incarné.

Dans ce processus de fusion, votre identité divine se prête au jeu. Elle accepte de travailler avec la matrice actuelle — non pour la fuir ou la détruire de force, mais pour collaborer avec elle en utilisant ses règles. Concrètement, cela signifie que votre identité divine prend le relais pour faire ce que votre identité matricielle tente de faire quotidiennement :

  • Canaliser de l’énergie,
  • Concentrer cette énergie,
  • Matérialiser des actions et des projets dans la matière.

Mais il y a une énorme différence : Avec votre identité matricielle, tout demande beaucoup d’efforts : réflexion, essais, erreurs, doutes, remises en question. Avec votre identité divine, aucun effort conscient n’est nécessaire. Il suffit d’être là.

«Avec votre identité divine, aucun effort conscient n’est nécessaire. Il suffit d’être là.»

Lorsque votre identité divine se déploie, vous savez immédiatement qui vous êtes et ce que vous devez faire. Pas besoin de réflexion longue, pas besoin de vous juger ou de chercher des réponses par l’intellect. C’est une évidence intérieure. Vous devenez capable d’agir avec :

  • Moins d’énergie gaspillée,

  • Moins de temps perdu,

  • Une clarté immédiate.

En fusionnant vos deux identités et en laissant votre identité divine œuvrer à travers vous, vous participez activement à l’éradication progressive de la matrice artificielle sur la planète. C’est ainsi que cela se passe. Non par la guerre, non par la force, mais par l’intégration consciente et silencieuse de votre vraie nature dans la matière actuelle. Chaque humain qui entre dans ce processus devient un véritable vecteur de transformation globale, simplement en étant pleinement lui-même, ici et maintenant.

Ce qu’il est essentiel de comprendre, c’est que votre égo, c’est-à-dire votre conscience artificielle, a des attentes envers votre identité divine. Votre mental, votre système de pensée conditionné, projette déjà une idée de ce que devrait être cette identité divine. Mais ces attentes sont fausses.

Pourquoi? Parce que votre cerveau ne sait pas ce qui va réellement se passer. Il ne peut pas anticiper ce processus, car il dépasse largement les schémas habituels de réflexion.

Votre seul rôle est de vous prêter au jeu :

  • Être dans votre corps,

  • Incarner votre identité matricielle pleinement,

  • Laisser la fusion se produire naturellement.

Quand vous faites cela, le processus de fusion entre votre identité matricielle et votre identité divine s’opère tout seul. Cela vous permet de savoir, sans effort mental :

  • Qui vous êtes,

  • Pourquoi vous êtes ici,

  • Quelles actions poser maintenant, au moment présent.

Nous ne sommes pas encore rendus au point où l’identité divine prend complètement le contrôle de la matrice d’un simple claquement de doigts. Nous sommes dans une phase de fusion progressive. Cela signifie que même si vous êtes dans votre corps et que vous incarnez votre identité, vous conservez encore des différences individuelles par rapport aux autres humains faisant le même chemin que vous.

Un exemple personnel : Moi, Marie-Andrée, j’ai une divinité en moi. Mon conjoint, Karl, a lui aussi sa divinité en lui. Nous travaillons tous les deux à fusionner nos identités dans nos corps respectifs. Nos matrices individuelles sont différentes : nous portons des programmations et des bagages génétiques distincts. Ainsi, mon processus de fusion est différent de celui de Karl. Nos actions, nos réflexions et nos prises de conscience sont aujourd’hui légèrement différentes. Mais : plus nous fusionnons, plus nous nous rapprochons. Petit à petit, nos actions, nos pensées, nos prises de conscience deviendront de plus en plus identiques.

Dans la matrice classique, deux êtres identiques sont impossibles. La matrice promeut la diversité, la séparation et l’individualité. Mais dans un processus de fusion ascensionnelle, cette similitude est non seulement possible, mais naturelle. Pourquoi? Parce que votre divinité joue temporairement le jeu : Elle simule votre ancienne identité matricielle pendant qu’elle mange (transmute) progressivement vos anciens programmes.

«Votre divinité joue temporairement le jeu de la matrice.»

Un simulateur interne est mis en place pour vous permettre :

  • De rester fonctionnel dans la matrice,

  • De continuer à interagir sans sombrer dans le chaos ou perdre votre stabilité psychologique,

  • De prendre en charge votre quotidien tout en vivant votre transformation.

Je suis en grande joie de partager cet enseignement sur l’identité avec vous, car il permet de puissants espaces de transformation. Vous n’avez pas besoin de tout comprendre mentalement. Retenez simplement ceci :

  • Habitez votre corps,

  • Incarnez votre identité

Si vous faites cela, vous êtes déjà en processus de fusion. Et en étant dans ce processus, vous gagnerez en clarté, vous serez capables de canaliser qui vous êtes dans la matière, et vous matérialiserez naturellement cette énergie divine dans votre vie.

Je vous souhaite de belles mises en action concrètes dans votre quotidien! Bonne Ascension à tous.

Pour découvrir l’intégralité de cet enseignement et recevoir pleinement le soin d’identité associé, rendez-vous sur notre chaîne YouTube et écoutez la vidéo complète : https://youtu.be/RPtJljLVRCQ

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